« La plateforme de publication «d’Ecrire, encore» ne remplace pas une maison d’édition pour les auteurs et autrices qui y participent – mais elle est un pont possible. Cette plateforme est aussi un lieu où les auteurs et autrices en exil peuvent continuer à publier dans leur langue et à être lues dans les langues de leur pays d’accueil. Et c’est une institution, qui aide les écrivant.es issues d’autres pays en les mettant en réseau avec des collègues suisses établi.e.s, leur permettant ainsi de faire partie de façon visible et audible de la vie littéraire locale. »
Daniel Graf, Republik
« Implanter Écrire, encore en Suisse, c’est permettre aux auteurs et autrices en exil de se faire entendre. À mesure que ces derniers traversent les frontières pour venir jusqu’ici, nous plongerons dans de nouveaux univers littéraires. La barrière des langues est levée et la littérature devient un élément fédérateur. »
Katharina Altas
« Écrire, c’est tenter de découvrir la liberté par l’intermédiaire de la langue. »
Ivna Žic
« L’écriture, c’est le mouvement de la langue. Comment mes langues peuvent-elles entrer en mouvement lorsque l’une d’entre elles en sait plus long que les autres sur l’écriture ? Qu’est-ce que mes langues savent de moi ? Et comment formuler quelque chose dans une langue qui ne partage pas grand-chose avec moi, ou dans laquelle les mots justes ne me viennent pas facilement ? »